Laurent Grasso
Uraniborg
du 22 mai au 23 septembre 2012
Musée d’art contemporain,Montréal,
du 7 février au 28 avril 2013

Photo : Florian Kleinefenn, permission de la Galerie chez Valentin, Paris
du 22 mai au 23 septembre 2012
Musée d’art contemporain,Montréal,
du 7 février au 28 avril 2013
Dans un numéro thématique sur la peur (esse n° 61, automne 2007), j’avais rédigé un essai sur Laurent Grasso intitulé Une nouvelle méthode paranoïaque-critique. Aujourd’hui, son exposition intitulée Uraniborg à la Galerie nationale du Jeu de Paume à Paris et au Musée d’art contemporain de Montréal, offre l’occasion de revenir sur le travail de cet artiste.
Comme pour chacune de ses expositions, Laurent Grasso porte une grande attention à la scénographie comme contexte de monstration de ses œuvres qu’il présente au sein de dispositifs qui mettent en abyme leurs significations. Dans Uraniborg, avec la création de petits espaces cloisonnés, desservis par un couloir percé de fenêtres, l’accent est mis sur la question de la visibilité. Une œuvre en néon énonçant Visibility is a trap thématise d’ailleurs explicitement cette problématique qui fédère d’autres aspects présents depuis longtemps dans son travail.
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